La naissance d’un livre

Bonne nouvelle ! Aujourd’hui est un grand jour. Notre livre est imprimé et nous allons bientôt pouvoir l’envoyer aux nombreux souscripteurs.

 

Mais les étapes furent longues, quatre mois de labeur, car faire un livre en autoédition, c’est comme apprendre un nouveau métier.

  • D’abord, la partie la plus facile: l’écrire.
  • Imbriquer des cahiers photos, c’est déjà plus technique. Heureusement que Marcellin est là!
  • Corriger les fautes de français et de typographie, lire et relire jusqu’à saturation. 
  • Choisir le format du livre et rentrer dans les détails techniques sur le grammage ou le pelliculage de la couverture, la quadrichromie… Ne pas hésiter à faire appel aux spécialistes pour se faire conseiller. 
  • Une fois qu’on a intégré le vocabulaire technique, faire plusieurs devis auprès d’imprimeurs
  • Demander un numéro d’ISBN. 
  • Lancer une demande de souscription auprès des amis car un livre comme le nôtre, avec mille exemplaires, coûte cher.
  • Quand l’imprimeur est choisi, on reçoit un Bon A Tirer, la maquette de notre livre, qu’il faut relire avec soin car ensuite, on ne pourra plus rien changer. Puis c’est parti pour l’impression. 

En plus l’imprimerie Groupe Folio à Flourens nous a gentillement ouvert les portes.

 

Alice. « J’ai trouvé ça époustouflant. Il y avait tellement de machines, ça allait si vite. Les gens sont très habiles, c’était bien de voir les différentes étapes: le pliage, l’impression des couleurs, les gros tas de papier qu’il faut couper….»

 

Tom. « Moi, j’ai trouvé que c’était bruyant! »

            Les caisses encombrent désormais notre maison. Le plus long commence: la diffusion. Cela prendra plusieurs mois, voire plusieurs années via les salons de voyage, les associations, les conférences, les projections, les librairies spécialisées, les journaux… Bref, l’aventure ne fait que commencer, et d’ailleurs vous pouvez dès maintenant télécharger le bon de commande.